Le 16 avril 2014, un ferry transportant plus ou moins 500 personnes. Il comptait à son bord une forte présence de lycéens et d’autres passagers en direction de l’île de Jedu. Lors de l’accident, le navire aurait apparemment heurté un fond sans raison objective, la mer étant calme.
Ce drame affreux est à rapporter à d’autres évènements comparables qui montrent que « le retour d’expérience » n’a pas servi, et, que la sécurité maritime de passagers apparaît bien empirique, ou ne figurerait pas dans le commerce mondial, comme une donnée essentielle du transport de passagers.
C’est pourquoi l’ADV/CLCV témoigne son infinie compassion aux parents des victimes ayant laissé leurs vies et leur jeunesse dans un naufrage de trop.
L’ADV/CLCV note que des négligences pourraient être à l’origine du drame, car, dès l’annonce de l’accident survenu le 16 avril 2014, les questions essentielles sont apparues, telle la compétence et l’expérience de l’équipage qui semblent être mises en cause, suivis d’autres constats.
D’autres points seraient en effet mis en cause, car ce ferry dont la stabilité devait être jaugée et appréhendée, celui-ci aurait été surchargé en population, en véhicules automobiles. Par ailleurs, il semble que le fret n’ait pas été correctement arrimé.
Pour l’ADV/CLCV, la prévention des risques nés des transports et des voyages devraient faire l’objet d’une règle unique à l’échelle de la planète. Des règles sans complaisance devraient régir et réunir le droit maritime mondial dans une seule et unique règle commune.